A raça de Lagoa Santa - velhos e novos estudos sobre o homem fóssil americano

la region oculaire, ou le vide orbitaire est entoure d'une saillie osseuse subcirculaire et continue partout en quelque sorte également acassée, aussi bien dans la région des pommettes que dans celle de la visiére soncilière.

Les differences portent particulièrement sur le port de l'Atele, tout autre que celui de l'Ameranthropoide.

C'est qu'aux habitudes exclusivement arboricoles de l'Atele, que se tient toujours dans la region faitière des arbres de la forêt vierge, s'oppose l'attitude d'animal terricole de l'Améranthropoide.

De même, les membres trés deliés de l'Atele contratent avec le torse, les jambes et les bras de l'Améranthropoïde, comparables par leur developpement ceux de la plupart des Simiens.

Des proportions d'ailleurs analogues a celes relevées, pour ces différentes parties du corps, chez l'Ameranthropoïde, se retrouvent chez un Platyrrhinien, souvent consideré comme un Atele, le Brachytele araignée, à toison lainense et pouce rudimentaire.

La tendance à une cephalisation de plus en plus accusée est pour moi le caractére fondamental de l'evolution des Primates: elle se manifeste aussi bien chez les Lemuriens géants subfossiles de Madagascar (Megaladapis, etc.) que chez les Tarsiens rencontrés dans l'Eocène inferiur nord-americain (Anaptomorphus homunculus) ou menant aujord'hui une vie nocturne dans la forêt indomalaise (Tarsius). Elle se retrouve chez les Cebidés (Homunculus) du Miocène de Patagonie, comme chez Gibbons (Pitecanthropus) do Postpliocène de Java. De cette tendance, qui traduit finalement par um faciers hominien, témoigne encore la morphologie générale d'Anthropoides fossiles, aux affinités, insuffisamment précisées: tel est peut — être le cas de Dryopithecus du Miocene. A du Pliocene

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