"Nous avons affaire, notre sens, á un cas de parallelisme. L'Amerique a donc produit ses anthropoides, comme l'Asie et l'Afrique, les leurs. Mais on sait, que l'Amerique était jusqu'ici exclue de l'entendu terrestre au se serait élaboré l'arbre complet des primates: en effet, en dessus des singes platyrhiniens, on ne trouvait dans le Nouveau-Monde que l'homme, et l'on admettait que l'arbre des primates s'y était tôt arreté dans son evolution, tandis que plus tard — bien plus tard — ce continent avait été envahi par l'home de l'exterieur. On allait même plus loin. Un des arguments invoqués sur assigner au centre de l'Asie de rôle de berceau de l'humanité, etait la disposition geographique des singes anthropoides à la peripherie de l'Ancien-Monde (chimpanzé et gorille sur la cote de Guiné, gibbon et orang, en Insulinde), comme s'il avaient été chassés par les vagnes concentriques successives de leurs successeurs nés dans le berceau central-asiatique.
La découverte d'un singe anthropoide, proprement américain — s'il en existe une espece actuelle, in en fut certainement d'autres préhistoriques — abolit cette manière de voir.
Elle tende a prouver non pas l'anthenticité de chaque trouvaille, d'espece iniermediaire préhistorique en Amerique mais la légitimité de principe de leur authenticité, à l'encontre de la thése qui prétendait les mantenir toutes en suspicion, san discerniment. Nous sommes done peut être en droit d'élargir les conclusions directes du fait nouveau et de l'utiliser comme soutien de la vraisemblance de la theorie ologeniste, selon laquele les anthropoides, comme les hominidés, comme les hominiens, comme l'homme lui même, ont vu le jour sur toute l'étendue de la Terre".
Enquanto Montandon assim se expressa, admitindo o princípio da teoria da "Ologenese" o prof.