diárias da família, que deviam ser tão conhecidas de Paulino: "La maison est sur le mente pied que tu l'as laissé, rien n'y est changé que la séparation dont je t'ai parle; les nègres sont logés dans ta chambre du jardin. Paul est seul notre gardien, et dort dans la chambre près du sallon; le soir nous allons eu haut, ton père s'etend sur le canapé, ou se met dans la rede, ce qui anime davantage la conversation par toutes les imprecations qu'il fait contre les vents-coulis qui viennent l'y assiéger; ou nous lisons, ou nous causons, ou le plus souvent nous ne disons rien; à 9 heures et demie, presque toujours nous sommes concites pour recommencer le lendemain; jusqu'à ce qu'il vienne un jour où cette vie du Brésil soit au nombre de mes souvenirs..." A vida da cidade Dna. Antoinette também contava em suas cartas. Depois de tantos sofrimentos, revoluções e secas, os habitantes de São Luís quiseram divertir-se um pouco e formaram um teatro: "On a cherché à se divertir;" escrevia ela, "on a rouvert le theâtre, on a raccroché par ci, par là quelques acteurs qui n'avaient pas gris la route du Portugal, et à l'aide d'une Marie Caxuche e d'une Marie Pacova... on nous a donnée une pièce oi je n'ai rien compris, mais que j'ai été voir avec Clotilde qui a été très satisfaite de voir un auge sur des nuages, tandis que moi, qui ne suis plus dans l'âge des illusions, je n'ai vu toute la soirée que des pauvres diables."

Dos seus dois filhos mais moços, ela escrevia: "Hipolite est le meme que tu l'as laissée, il ne grandit pas; Clotilde te ressemble beaucoup, elle a en tout la même figure, hors son nez qui est fort petit." E, quando nasceu a sua última filha, Valentina (futura Baronesa de Maroim), Dna. Antoinette dava a notícia a Paulino, acrescentando: "Tu seras sans doute étonné que la vieille t'aprenne une pareille nouvelle, mais mon cher ami ce sera je crois la dernière que je t'apprendrai de ce genre."