panaceias infalíveis as defumações, o tradicional preventivo da peste na Europa medieval. Recomendava, entretanto, Labat: "Il ne faut pas prendre le change sur le terme de parfumer un Vaisseau, ni s'imaginer qu'on employe à cet usage des parfuns rares & de prix; on n'y employe que du vinaigre qu'on repand sur des pelles toutes rouges; cela exite une fumée epaisse & penetrante qui chasse avec force le mauvais air qui ne manque pas de se trouver dans l'entrepont où ces malheureux sont enfermes & enchâinés deux à deux par un pied".
Critica nessa altura o dominicano o mau vezo dos europeus de economizarem remédios. Os que havia nas farmácias marítimas eram insuficientes e ruins, "plus propres à faire du mal qu'a guerir ceux pour lesquels on les employe. Cependant, la vie des équipages & des captifs est entre les mains de ces ignorans (cirurgiões de ínfimo quilate, abaixo de vulgares sangradores) & exposée à ces remedes, qui méritent plûtôt le nom des poisons. Voilà une des causes des mortalitées qui arrivent dans le transport des captifs. La segonde est la mauvaise qualité des vivres..."
Tinham mais uma prejudicial mania esses matasanos(*) Nota do Revisor, que era autopsiar os cadáveres dos falecidos para ver do que morriam. Contra o hábito, se insurgia Labat: "Ces sortes d'operations bonnes en elles-mêmes & souvent très necessaires, ne peuvent être si secretes qu'elles ne viennent à la connoissance