qu'il était un des régicides français. Cette dernière calomnie était si forte que le Gouvernement fit prendre des informations même auprès de l'ambassade. Il fut donc bien avéré que c'était une atroce calomnie. Cela même rendit notre Directeur actuel plus interessant aux yeux des ministres qui le protègent. Mais comme ces bruits avaient passe par des bouches respectables l'affaire devenait délicate. On ne precipita rien et deux mois après le ministre du Trésor Royal, homme plein d'esprit et de zele pour notre affaire, calma les esprits et rassura toutes les consciences en prouvant que l'individu sur lequel on avait ses renseignements n'avait de rapport avec notre Directeur que par le nom, qu'il avait reconnu que notre homme ne faisait point partie de la Convention Nationale. Ainsi personne n'eut tort, la similitude de nom emmena un denouement aussi prompt qu'inspiré qui termina le melodrame et renvoya tout le monde content excepté le D. Bazile qui alla se coucher avec un véritable accès de fièvre".
Junta Debret apêndice à longa carta, intitulado Suite de nouvelles, onde descreve a animação do momento com informações mais interessantes do que lamentáveis "mexidas" de artistas. "S. M. doit être Couronnée le 27 Nbre. Les esperances des habitante du Brésil vont enfin se réaliser, car le opinions se partagent entre le retour du Roy au Portugal, ou son séjour au Brésil. Personne ne se determine à prendre aucun parti pour former de grands établissements, les personnes qui ont suivi le Roy espèrent toujours au retour en Portugal ou elles ont laissé leur fortune et leurs propriétés. Les Brésiliens au contraire sentent que la résidence du Roy serait un coup de fortune pour le pays qui a déjà l'avantage d'être eleve à l'Honneur du titre de Royaume Uni du Brésil, ce qui lui donne des prérrogatives pour le commerce et les manufactures dont il était prive comme colonie. Du reste aucun gol-At dominant comme Luxe que celui qu'ont apporté les Portugais qui sont eux-mêmes diriges par celui des anglais. En général très peu d'activité et point d'innovation. Comme on est habitue à savoir le prix", ou seja, qualidade, "de ce qu'on connait, aucun ouvrier oserait faire autrement. Les Brésiliens redouteraient d'entreprendre de faire faire ou d'acheter quelque chose de nouveau. Il n'y a ici que les Portugais militaires qui aient idée de l'Europe et de ses avantages. Les Brésiliens en général préfèrent attendre l'arrivée des marchandises européennes pour acheter ce qui pourrait leur convenir que de se mêler d'en faire l'importation", equivalente a aceitar o que lhes ofereciam sem maiores exigências.