"...Como você sabe, o nosso pior inimigo é a situação financeira péssima, com que lutamos e cujo termômetro é o câmbio" escrevia ele a seu dedicado Ministro da Fazenda Bernardino de Campos, quando em plena luta militar contra a jagunçada de Canudos, as conspirações políticas, a oposição desapiedada, injusta e invejosa (Silveira Peixoto - Prudente de Morais — Curitiba, 1942, 2ª ed., pág. 233).
E tinha razão o Caxias da República nascente, pois, como afirma Calógeras, somente as diferenças de câmbio com o serviço da dívida pública externa absorviam percentagens fantásticas da receita federal:
"Elles absorbaient en 1897 plus du quart du budget total des recettes. Quelle économie, quelle réduction de dépenses était dono possible, même en retranchant dans l'indispensable, permettant de racheter la différence engloutie par la dévalorisation de la monnaie courante?
Déjà les budgets des différents ministères avaient réduit leurs demandes de crédit; il restait encore bien des choses à éliminer ou à diminuer fortement; mais il fallait plutôt une réforme organique des services, qu'une simple recherche du minimum absolu des frais indispensables pour les maintenir, sans désorganiser les grandes administrations des divers départements.
Mais même en poussant plus loin cette politique de restriction, en faisant les suppressions les moins recommandables, en taillant dans le vif, où trouver à économiser les 110.000 contos votés pour les "différences de change" en 1897, pour l'exercice suivant?
Il était par conséquent oiseux de chercher la solution où elle n'était pas. C'était la circulation qu'il fallait assainir, par dessus toute chose. Les économies indispensables, dignes des plus grands éloges, ne venaient qu'au second plan".
(J. P. Calógeras - La Politique Monétaire du Brésil — Rio, 1910, pág. 322.)