O Brasil literário: História da literatura brasileira

guardado na biblioteca de Paris num manuscrito cuja primeira parte se julgava perdida." (Dicionário Popular, 14º vol. Lisboa, 1885, p. 162).



Diz LAROUSSE:



"Sous la double influence de l'école romantique et des tendances plus larges que prenait la philologie allemande, il se voua presque exclusivement à l'êtude de quelques langues romanes et en particular du vieux français, de l'espagnol et du portugais. L'italien et le provençal ne l'ont occupé qu'accessoirement. On lui doit un grand nombre de découvertes fort interéssantes, car il avait le flair de l'érudit intelligent. Son jugement était sûr, sa critique nette et précise. Il a publié un grand nombre de comptes rendus qui, par l'originalité et la profendeur des récherches, sont souvent plus utiles à la science que les volumes dont il parlait. L'un des premiers, M. Wolf a deviné que la légende espagnole sur la "reine Sibile" devait son origine à un ancien poeme français, qui a été trouvé depuis et publié. C'est lui qui a signalé à la blbliothéque de Vienne le premier volume du Roman de Renard le Contrefait et établi que c'était le commencement du poeme conservé à la Bibliotheque nationale de Paris dans un manuscrit dont la première partie passait pour perdue. La France a donc de grandes obligations à ce savant, qui lui a révelé quelques uns des morceaux les plus curieux de son ancienne littérature".

"... Il avait préparé aussi une édition d'un poème inédit de Baudouin de Conde, destinée à faire partie de la collection complète des oeuvres de cet auteur publiée par l'Académie de Belgique, et du roman en vieux français, de Raoul de Houdene. Merangis de Portlesguez. (Grand Dictionnaire Universel, tomo quinzième, 1876, p. 1367).



Vejamos as palavras de ARTUR MOTA:

"No ano imediato (1863) foi publicada a obra de Ferdinand Wolf, sob o título Le Brésil Litteraire - Histoire de la litterature bresilienne (1863), graças aos bons auspícios de Domingos J. Gonçalves de Magalhães, Manuel de Araujo Porto Alegre e Ernesto Ferreira